Nouvelles représentations du corps et déconstruction de l’imaginaire colonial européen à travers trois films de Sarah Maldoror

Autores

  • Marina Berthet Professeur du département d’Histoire à l’université Fédérale Fluminense (UFF, Niterói, Brésil)
  • Sthepan Oriach

DOI:

https://doi.org/10.34019/2318-101X.2017.v12.12374

Resumo

Nous nous proposons de repenser certains aspects de l’oeuvre de Sarah Maldoror et sa trajectoire dans le monde du cinéma. Notre perspective se construit à partir de l’analyse de ses trois premiers films: Monagambé (1969), Das fusils pour Banta (1970) et Sambizanga (1972) pour comprendre son rôle de pionnière dans le cinéma d’Afrique des années 60-70. Choisir le documentaire pour exprimer ses opinions est un des éléments caractéristiques du pioneirisme de Sarah Maldoror que nous mettons en evidence dans cet article.
Mots-clés: Sarah Maldoror, pionnière, cinéma d’Afrique, documentaire.

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Biografia do Autor

Marina Berthet, Professeur du département d’Histoire à l’université Fédérale Fluminense (UFF, Niterói, Brésil)

Enseigne l’histoire de l’Afrique. Récemment a publié: Análise do documentário a batalha de Adwa, de haile gerima: entre memória coletiva e símbolos nacionais etíopes (Revista Rebecca, 2016-2017) et « forced “labour and migration in são Tomé and Principe: capverdian exile in poetry and song (2017)” Chapter twelve (Exile Book, Indiana University), en cours d’impression.

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Publicado

2017-11-30