Nouvelles représentations du corps et déconstruction de l’imaginaire colonial européen à travers trois films de Sarah Maldoror
DOI:
https://doi.org/10.34019/2318-101X.2017.v12.12374Abstract
Nous nous proposons de repenser certains aspects de l’oeuvre de Sarah Maldoror et sa trajectoire dans le monde du cinéma. Notre perspective se construit à partir de l’analyse de ses trois premiers films: Monagambé (1969), Das fusils pour Banta (1970) et Sambizanga (1972) pour comprendre son rôle de pionnière dans le cinéma d’Afrique des années 60-70. Choisir le documentaire pour exprimer ses opinions est un des éléments caractéristiques du pioneirisme de Sarah Maldoror que nous mettons en evidence dans cet article.
Mots-clés: Sarah Maldoror, pionnière, cinéma d’Afrique, documentaire.